Poème d’une fan reconnaissante

À toi, Ji Chang Wook,

Dans le silence d’un écran allumé,

Tu apparais — regard droit, cœur secret.

Un battement suspendu, un souffle arrêté,

Et l’univers soudain devient plus vrai.

Tu n’es pas qu’un acteur sous la lumière,

Tu es la voix dans le noir, la lueur passagère,

Le sourire discret dans la scène oubliée,

L’éclat d’un rôle que seul toi sais incarner.

Tantôt prince, tantôt fuyard sous la pluie,

Tantôt héros qui tombe et qui survit.

Tu cries, tu ris, tu nous fais frissonner,

Comme si nos âmes savaient t’écouter.

Tu ne joues pas, tu offres, tu livres,

À chaque geste, c’est l’émotion qui vibre.

Et dans la foule, même si tu ne vois pas,

Sache qu’un cœur ici bat juste pour toi.

Tu ignores peut-être le chemin que tu traces,

Mais dans nos vies, tu laisses des traces.

De ton regard, tu dessines l’espoir,

De ta voix, tu fais renaître le soir.

Alors merci, pour l’art, pour la pudeur,

Pour le respect, la passion, la chaleur.

Merci d’être là, même de loin,

Un phare, un souffle, un doux refrain.

Caroline

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